Critique du livre par le comité de lecture de Place d'armes
Rédigé en mode de correspondance, le livre de notre camarade J.C. Beïret Montagné est indiscutablement le récit des tribulations d'un patriote ; il fuit la mobilisation du STO et rejoint l'Armée d'Afrique en passant bien sûr par l'Espagne. Il s'appesantit à mon goût un peu trop sur les dures conditions de sa détention dans les prisons espagnoles. Certes la sous-alimentation et la compagnie des punaises, ne réjouissent personne ; toutefois au sortir de la Guerre civile, c'est tout le pays qui mourrait de faim, et qui voyait sans plaisir arriver des étrangers fuyant leur pays en guerre, guerre dont le Général Franco avait su le préserver. On le suit tout à fait quand il déplore la querelle De Gaulle-Giraud, mais on peut regretter qu'il ait oublié qu'il y avait des patriotes aux côtés du Maréchal.
Franco était anti-communiste et soutenu par les USA sur le plan économique... à condition qu'il ne s'engage pas avec les NAZIS, sinon les USA lui coupaient les vivre.
commentaire tout a fait objectif compte tenu de la configuration historique du moment.
Outre que les guerres civiles sont porteuses de "grands malheurs" pour leur pays, Franco a été copieusement villipendé, honni par la clique bolcho-stalignienne française soutien des massacres par les révoltés de la pétaudière républicaine espagnole, certes originaire de l'impuisance monarchique à réformer socialement le pays de Serventes, laquelle clique franco-socialo-"rouge", pas celui de notre verueux tricolore, en cédant traitreusement au "amours germano-soviétique 1939" pendant notre propre mobilisation.
Franco débiteur à l'aide militaire de l'axe eu le "culot" de dire NON à Hitler venu à Hendaye en 1940, lui quémander le passage de sa wherrmacht par l'Espagne pour s'en prendre a l'enclave british de Gibraltar et par la…
Sans doute très intéressant, et la chronique de votre rédacteur est exacte. Mon père, Officier de la 2° DB et ancien des Chantiers de Jeunesse n'avait cessé de me rappeler qu'avec l'Afrique du Nord et le Général Weygand, Pétain pensait à la revanche. Et De Gaulle a refusé les honneurs militaires aux Invalides pour les funérailles de l'exceptionnel soldat de la guerre de 14 que fut le Général Weygand.