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Communiqué Important

Le communiqué ci-dessous sera porté en préfecture et remis au préfet ou chef de cabinet dans chaque département le 29 novembre par les membres de Place d’armes. Une lecture de ce même communiqué sera effectuée solennellement le samedi 4 décembre à 11 heures au monument aux morts de la préfecture du département. Venez nombreux.

Dans chaque département, venez nombreux !

 

Il convient de rappeler qui était Gisèle Halimi, avocate franco-tunisienne. Elle avait défendu des membres du FLN pendant la guerre d’Algérie, notamment Djamila Boupacha, militante du FLN accusée d’avoir déposé une bombe en septembre 1959 à Alger, condamnée à mort puis amnistiée. Figure de l’anticolonialisme, elle fut toujours prompte à salir l’armée française qui ne faisait qu’obéir aux ordres des gouvernants.

Militante féministe de premier rang, elle afficha aussi à plusieurs occasions son mépris pour les Harkis, notamment sur France Inter, le 3 mai 2010, quand elle expliqua qu’elle appelait « femmes harkis » les femmes qu’elle considérait comme « ennemies de la femme », ajoutant d’un ton arrogant : « Les femmes harkis, malheureusement, cela existe ».

À ce jour, les demandeurs auraient collecté près de 35 000 signatures de soutien à leur projet.

Mal à l’aise sur ce sujet, le gouvernement annonce que Gisèle Halimi aura finalement droit, non à une « panthéonisation », mais à un hommage national aux Invalides en 2022, « en accord avec la famille » selon les mots du président de la République.

Nous, anciens militaires et civils patriotes, réunis au sein de Place d’armes, nous élevons contre cet infamant projet.

Les Invalides sont un haut lieu de mémoire de l’institution militaire. Vouloir, en cet endroit ô combien symbolique, rendre hommage à quelqu’un qui s’est battu indirectement contre l’armée française relève de la provocation. C’est une trahison de la mémoire de nos anciens !

En ces temps troublés où les groupes de pression de tous ordres, animés par des idéologies irresponsables, tentent de réécrire l’Histoire à leur convenance, il faut aux Français la possibilité de retrouver fierté et honneur au travers de personnages exemplaires dans leur service de la nation.

C’est pourquoi, Place d’armes propose au président de la République, que l’hommage national prévu aux Invalides le soit pour Jacqueline Domergue, alias « Jaïc ».

Si tout le monde connaît Geneviève de Galard et son parcours à Dien-Bien-Phu, peu d’entre nous connaissent l’autre convoyeuse de l’air, Jaïc, qui s’illustra aussi en Indochine (deux séjours), notamment à Dien-Bien-Phu, et pendant la campagne d’Égypte (1956), avant de succomber, au champ d’honneur, en Algérie…

Jaïc, infirmière, avait 33 ans quand elle fut mortellement atteinte le 29 novembre 1957, d’une balle en plein front, lors d’une évacuation sanitaire en hélicoptère, en tentant de secourir un blessé dans la campagne au sud d’Alger (djebel Arba). Grande parachutiste sportive, championne de France militaire, Jaïc avait aussi cinq cents sauts à son actif.

Entre celle qui a combattu la France et celle qui lui a donné sa vie, nous souhaitons que la préférence du président de la République aille à celle qui fut une véritable héroïne. 

Le bureau national de Place d’armes

PLACE D’ARMES

Ce site est ouvert à tous les militaires à la retraite, d’active, et de réserve qui aiment la France et réalisent que celle-ci est au bord du gouffre. Aujourd’hui nos ennemis sont dans la place, aussi devons-nous nous regrouper quelle que soit notre arme ou notre grade pour montrer que nous sommes mobilisés pour défendre notre drapeau.

Il est ouvert en premier aux retraités car leur expression est libre et souvent incisive, de plus elle n’est pas soumise au devoir de réserve.

Il est ouvert aux réservistes qui ayant fait le choix de conserver un pied dans le cadre militaire peuvent par leurs positions prendre le pouls de notre pays face aux forces toxiques qui l’assaillent.

Enfin, ce site est également ouvert à tous les civils qui aiment autant la France que nous. Hommes et femmes de France ont toute leur place aux côtés de ceux qui ont servi sous l’uniforme.

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