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PELLIZZARI, L’HOMME QUI DÉFIE L’ÉTAT AVEC LE DROIT : UNE LEÇON DE STRATÉGIE POUR LA FRANCE SOUVERAINE


Le Général Paul PELLIZZARI,

radié – Place d’Armes lui apporte son total soutien dans son combat pour le respect des institutions et de la souveraineté nationale…





Un général radié, une plainte contre le gouvernement, des accusations de représailles : l’affaire Paul Pellizzari agite la France. Mais derrière le scandale, un homme se dresse, armé non pas d’un fusil, mais du droit. Le Général Pellizzari n’est pas qu’une victime ; il est un stratège qui montre comment utiliser la loi pour défendre la souveraineté. Voici pourquoi son combat est une leçon pour tous.

Un général qui connaît le terrain juridique Pellizzari, radié des cadres par décret du 17 avril 2025, n’a pas signé la tribune controversée de 2021, contrairement aux rumeurs. Sa faute ? Avoir déposé une plainte en avril 2024 contre Gabriel Attal, Sébastien Lecornu et Stéphane Séjourné pour « livraison illégale d’armes à l’Ukraine ». Cette plainte, jugée irrecevable par la Cour de Justice de la République, n’a pas été classée sans suite. Pellizzari a ensuite mis en demeure le Procureur Général d’agir, invoquant une prescription trentenaire. Ce n’est pas un coup d’éclat ; c’est une manœuvre calculée, utilisant le Code pénal comme bouclier.

Défier l’État sans perdre son honneur L’État brandit le « manquement au devoir de réserve » pour justifier la radiation. Mais Pellizzari contre-attaque, dénonçant une absence de notification légale, une irrégularité qu’il entend contester devant le Conseil d’État. Ce n’est pas juste un recours ; c’est un défi lancé à l’exécutif : « Prouvez que vous respectez la loi. » En restant dans le cadre du droit, Pellizzari incarne une résistance digne, loin des provocations stériles. Il montre qu’on peut défier l’État sans perdre son honneur ni sa légitimité.

Une leçon pour la France souverainiste À une époque où les voix dissidentes sont muselées par des algorithmes ou des sanctions administratives, Pellizzari enseigne une vérité essentielle : le droit est une arme. En utilisant la CJR, le Conseil d’État, et les procédures légales, il prouve que la souveraineté ne se défend pas seulement dans les urnes, mais aussi dans les tribunaux. C’est une stratégie que tout Français attaché à sa nation devrait méditer : connaître ses droits, les utiliser, et ne jamais céder à l’intimidation.

Un symbole pour l’avenir Pellizzari n’est pas un martyr ; il est un pionnier. Son combat juridique, loin des slogans, rappelle que la France a les outils pour se défendre : ses lois, ses institutions, son histoire. En défiant l’État avec intelligence, il trace une voie pour une résistance moderne, ancrée dans la légalité et la dignité. À nous de suivre son exemple pour bâtir une France libre et fière.

Conclusion : Paul Pellizzari n’est pas qu’un général radié ; il est un stratège qui transforme le droit en arme de souveraineté. Son combat, subtil et audacieux, est un appel : Français, apprenez vos lois, usez-les, et ne pliez jamais. La France souveraine commence par des hommes comme lui.


Source : Opinion day

95 commentaires


jo
il y a 5 jours

Bonjour , sauf erreur de ma part je ne trouve plus le commentaire que j'avais posté ici; merci aux modérateurs de me donner des explications .


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jo
il y a 4 jours
En réponse à

Bonjour , je respecte votre fonctionnement même si dans mon cas après lecture de la Charte je n'ai trouvé aucun élément susceptible de justifier la modération. Mon post , dans son soutien à la souveraineté nationale au sens de l'article 3 de la constitution était clairement en accord avec Place d'Armes qui je vous cite concernant le général Pellizzari : Place d’Armes lui apporte son total soutien dans son combat pour le respect des institutions et de la souveraineté nationale…

Cordialement

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a.lionel
13 mai

Petite question : est-ce que ces mises à la retraite forcée ne libèrent pas nos Généraux du devoir de réserve? (Devoir que j’ai toujours trouvé incongru quand il s’agit du destin de la nation)

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a.lionel
13 mai

Nous n’avons rien à attendre de la justice corrompue de notre pays, pas plus de ceux qui sont soit-disant aux manettes! Le larbinat a encore de beaux jours devant lui!

Tout est verrouillé!

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H D
H D
13 mai

En réponse à Mayer Jean-Pierre

Monsieur, je constate que plus on vous explique, et moins vous semblez ou voulez comprendre. Relisez mon dernier message d’hier, et vous verrez que ce n’est pas moi mais le général Paul Pellizzari lui-même qui annonce publiquement dans sa pétition de 2024 que la Cour de justice de la République l’a débouté de sa plainte contre Attal et deux autres ministres pour cause d’irrecevabilité au motif que « l’infraction, à la supposer établie (...) ne peut avoir lésé directement M. Pellizzari ».

Désolé, mais je ne peux pas changer les déclarations de l’intéressé juste pour vous faire plaisir !

Je vous rappelle que cette décision a été prise en application de l’article 13 de la loi organique  n° 93-1252 du…

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H D
H D
12 mai

En réponse à Mayer Jean-Pierre

Irrecevabilité de la plainte Pellizzari due à un mauvais conseil juridique

Comme dit, je reviens sur votre réponse du 10 mai où vous me dites que « La plainte de Pelizzari est relative à l'abandon de matériels " affectés à la défense nationale ", ce qui rentre dans le champ des compétences d'un militaire de carrière en active ou en deuxième section ».

Je ne veux pas vous contredire, mais il se trouve que le général Paul Pellizzari ne se trouve absolument pas dans le cas de figure que vous citez. Le code de la défense dit en effet au paragraphe (e) de son article D4122-1 que le militaire doit « Prendre soin du matériel et des installations appartenant aux forces armées…

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En réponse à

Un militaire de carrière reste un militaire de carrière qu'il soit d'active de réserve ou mort.

Pelizarri en tant qu'officier avait toute compétence pour déposer plainte contre l'abandon des armes de la France au titre de l'article 411.3 Non seulement cette ridicule argutie juridique du 'préjudice personnel' , que vous reprenez, ignore totalement la qualité du plaignant mais en plus vous en rajoutez une autre tout aussi ridicule en prétendant qu'il ' n'avait pas de matériel militaire sous sa responsabilité '. Il fallait pour être ' lésé ' selon vous qu'on lui ait subtilisé le canon CAESAR ou le SCALP ou le Mirage , qu'il avait entre les mains ( demain la bombe atomique ) ?


Je passe sur votre…

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