top of page
Bandeau P.A._edited.jpg

Encore, encore et encore !

Le 9 août 2021, un réfugié rwandais a avoué dans une gendarmerie de Vendée le meurtre du père Olivier Maire qui l’avait accueilli dans sa communauté à Saint-Laurent-sur-Sèvre voici un an. C’est ce même réfugié rwandais qui, déjà en juillet 2020, avait été mis en examen pour l’incendie de la cathédrale de Nantes.

Que faisait cet homme en France alors qu’il était l’objet d’une obligation de quitter le territoire français depuis 2019 ?

Pourquoi cet incendiaire avait-il été libéré en juin alors que la justice connaissait sa dangerosité et sa folie destructrice ?

En 2016, le père Jacques Hamel était égorgé en son église de Saint-Étienne-du-Rouvray, en Seine-Maritime. En octobre dernier, une attaque causait la mort de deux fidèles et du sacristain de la basilique Notre-Dame de Nice, cette fois, si l’islamisme n’est pas à l’origine du drame, il s’agit encore d’un réfugié qui, malgré une décision d’expulsion, vivait sur notre sol. Pourtant le président de la République avait affirmé vouloir une meilleure prise en charge des rapatriements de clandestins, expliquant notamment :

« Les demandes d’asile sont de plus en plus détournées : les étrangers demandent systématiquement l’asile en sachant que l’examen de leur dossier durera plusieurs mois et qu’ils sont pris en charge de manière très avantageuse ».

On le voit comme d’habitude avec les politiques tout est simplement dans l’art de la parole et pas de l’action !

Quant à Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, il a osé dire à propos de cet assassinat que :

« Certains cédaient à la tentation de la démagogie, de la polémique politicienne le jour même de la mort de ce prêtre. »

La démagogie, il la pratique constamment en ne retenant des manifestations du samedi 7 août le seul fait qu’une jeune femme brandissait à Metz une pancarte à « connotation » antisémite. Il a ignoré les 240 000 autres personnes descendues dans la rue contre le pass-sanitaire. De même, il n’a pas eu un mot sur l’augmentation exponentielle des violences de janvier à juin 2021. En seulement six mois, 350 000 agressions ont été commises !

Au-delà de l’acte lui-même, cette tragédie montre de nouveau la faiblesse et l’hypocrisie d’un état qui n’ose froisser l’Europe et les bien-pensants en prenant des décisions fermes pour changer les lois qui protègent les malfaisants et ainsi épargner tant de drames à nos concitoyens. 

Si le coupable est bien l’assassin en situation irrégulière, des juges et des gouvernants qui par veulerie ou par négligence portent une part de responsabilité.

Nous le disons haut et fort : Place d’armes n’acceptera pas éternellement que des étrangers qui devraient être renvoyés chez eux continuent à massacrer des Français sans que l’état ne reconnaisse ni sa culpabilité ni sa médiocrité.

Que le président prenne garde car derrière la rage du peuple qui s’exprime actuellement chaque samedi monte la colère des anciennes légions qui sont prêtes à le rejoindre en occupant la rue pour faire entendre l’exaspération des Français.

bottom of page