Dans le cadre de sa « politique d’égalité des chances », explique-t-on à l’Elysée, le président de la République s’est rendu, ce vendredi 12 mars, au sein du 4e Régiment étranger, l’unité qui sert d’école aux légionnaires.
A la Présidence, on vante ce modèle d’intégration par l’effort, avec des règles strictes et simples de vivre ensemble », cette « capacité de fabriquer une entité d’excellence avec des gens venant de 150 pays » basée sur « une forte cohésion et des valeurs communes ». Difficile de ne pas y lire un message politique qui va bien au-delà du modèle Légion étrangère.
A la ferme de Saint-Gaudric, l’une des trois du 4e RE où les engagés volontaires suivent leur formation initiale, le président Macron a remis cinq décrets de naturalisations à des légionnaires qui souhaitaient devenir Français : un Polonais, un Brésilien, un Roumain, un Népalais et un Algérien.
Les Légionnaires ne deviennent Français que s’ils en font la demande. C’est le cas d’environ 200 d’entre eux chaque année, selon la procédure classique. Il existe une autre voie d’accès à la nationalité française, celle « par le sang versé », pour les blessés au combat. Une vingtaine de Légionnaires ont bénéficié de cette procédure particulière. La Légion étrangère compte 9000 hommes.
La Francé, Les Français ont un avenir en tant que combattants mais on doit intégrer dans les combattants les chefs d’entreprises’ les ouvriers les artisans sans hiérarchie mais en tant que Forces vives
Si les militaires sont concernés par le devenir France ils sont depuis la fin de la conscription en vase clos et méconnus dans leurs missions et implications
Il faut faire comprendre à ces forces vives ou combattants que tout n’est pas n’est pas aussi complexe s’il existe une volonté une vision une fierté
La France ne doit pas avoir honte ni se confondre en mille excuses mais s’assumer et assurer un avenir à son peuple