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Depuis cinq mois les banques bloquent Place d’armes

Nous avons reçu des centaines de lettres contenant des chèques d’adhésions de 20 € de sympathisants modestes qui, pour certains, se sont privés pour nous les envoyer et nous ne pouvons les déposer ! Pourquoi nous réserver un tel traitement ?

Nous avons en effet perdu cinq mois ! Cinq mois où nous nous sommes battus pour ouvrir un compte ! Et ce n’est pas fini ! Voici un aperçu de notre combat :

 
  1. Mi-mai : la trésorière prend rendez-vous par téléphone avec le Crédit Mutuel de Villefranche-de-Lauragais (31 290).

 
  1. Début juin : premier rendez-vous avec la personne en charge des associations.

 
  1. Mi-juin : dépôt du dossier lors d’un deuxième rendez-vous. Sur place : le président de Place d’armes et la trésorière.

 
  1. Fin juin : appel de la directrice de l’agence nous expliquant que ce n’était pas possible parce que le contact (Karine) allait partir en vacances, que Virginie, un autre contact de la banque, était enceinte (rien à voir avec les associations), ceci pour terminer en avouant que : « On ne saura pas gérer parce qu’on n’a pas l’habitude de ce genre d’association. » (Nous voyons bien que les raisons invoquées sont invraisemblables.)

 
  1. Fin juin : suite à cette fin de non-recevoir, le contact est pris immédiatement avec la Banque Courtois toujours à Villefranche-de-Lauragais. Un accord verbal est donné. La nouvelle banque nous explique qu’un autre rendez-vous avec le président de Place d’armes sera proposé. Quinze jours plus tard, un message nous indique que la banque ne peut donner suite à ce dossier.

 
  1. 22 juillet : premier dépôt d’un dossier (d’après la liste des pièces demandées) à La Banque Postale de Villefranche-de-Lauragais. Puis, deuxième rendez-vous pour pièces manquantes (alors qu’elles n’avaient pas été demandées la première fois). Suite à ce dépôt, silence radio. Au bout de trois semaines, nous relançons La Banque Postale : elle nous explique que le dossier a été perdu et qu’il faut tout refaire. La trésorière de l’association recommence électroniquement cette fois-ci, donc plus difficile à égarer.

 
  1. Les salariés de la banque, après un délai dû aux vacances, s’aperçoivent qu’ils ont besoin de la signature du président en sa présence. Celui-ci se déplace le 23 septembre et signe tous les documents présentés.

 
  1. Nous n’avons aucune nouvelle depuis… Lorsque le président a demandé à la direction postale de Bordeaux, là où arrivent les demandes, cette dernière lui a répondu que c’était en cours et que la demande doit se trouver dans la zone de tri postal de Bobigny, sauf qu’ils ont ajouté qu’il n’y a aucun moyen de joindre quelqu’un pour avoir plus d’éléments. Après un mois, nous en sommes toujours au même point. Quand nous allons demander sur place, à Villefranche-de-Lauragais, des nouvelles, les employés nous répondent pour la énième fois que le dossier est en cours.

 

Nous sommes bien obligés de constater une volonté soit de structures haut placées, soit de l’État, soit de cas individuels d’islamo-gauchisme de nous étouffer.

 

Il est évident qu’aujourd’hui Place d’armes gène de par son existence !

 

L’équipe de Place d’armes

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